Le pavillon de la France (Biennale d'architecture de Venise)Jean-Pierre Dalbéra via Flickr
Voici à quoi pourrait ressembler le programme municipal d'un candidat qui prendrait en compte les logiques de la ville intelligente et de la révolution numérique
Par Julien Damon
Dans la collection des discours et programmes préformatés par des partis politiques et/ou des officines spécialisés, voici ce que pourrait être le contenu du volet «smart» de la campagne d’un candidat, de gauche comme de droite, à la prochaine élection.
Il ne s’agit pas tant de faire élire le «smart maire» que de faire endosser à un candidat une série de réflexes, propositions, phrases qui relèvent de la logique «smart cités».
Dans le préambule de son tract (en deux pages, tout de même), ou bien en introduction de ses propositions sur son site, le candidat doit fonder la légitimité de son propos. Voici quelques paragraphes bien sentis qui peuvent lui servir.
«A l’origine de ce programme, un double constat: la nécessité de freiner l’accroissement des dépenses locales dans un contexte généralisé et préoccupant de disette budgétaire; la nécessaire prise en compte du thème des “villes intelligentes” comme nouvelle grille de lecture du fait urbain. Et une conviction: les démarches et services développés localement au nom de la ”ville intelligente” peuvent aider la municipalité à réduire ses dépenses, tout en contribuant à l’amélioration de la qualité de service.
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