L'Hôpital Nord Franche Comté est situé en région Bourgogne-Franche-Comté. Issu de la fusion de deux établissements hospitaliers, il dispose de 1250 lits répartis sur plusieurs sites dont 817 sur le site principal de Trevenans, il emploie environ 4 000 employés (corps médical inclus). « En amont de la livraison de ce bâtiment pensé pour être résolument fonctionnel et moderne, il a été défini dans son cahier des charges, d'équiper ses locaux avec les dernières technologies de communication. », explique Mme. Casoli, Directeur des Systèmes d'Information de l'Hôpital Nord Franche Comté. Sur les avancées qu'apportent la nouvelle plateforme déployée par Ascom, elle poursuit : « Une fois les solutions mises en place, nous avons ainsi pu rapidement opérer un changement majeur dans l'organisation de notre hôpital. Le personnel soignant peut désormais s'occuper de la qualité des soins prodigués aux patients et de la relation avec ces derniers, sans être parasité par d'autres tâches. ».
La plateforme applicative de santé d'Ascom constitue l'outil de gestion des flux de travail présents au sein d'une structure hospitalière. Elle permet aux équipes de soignants et aux personnels hospitaliers d'optimiser leurs temps et leurs ressources, pour gagner en efficacité sur le parcours de soins et sur la logistique et traiter avec la plus grande rapidité et pertinence les données connectées au patient. Les solutions déployées et adaptées aux usages de l'Hôpital Nord Franche Comté intègrent les données ou événements, les orchestrent, les rendent pertinentes et immédiatement disponibles, afin que tous les acteurs impliqués puissent prendre les meilleures décisions. Quelques exemples :
Le TAL : Transport Automatique Lourd achemine dans les différents services et unités de soins les prestations de blanchisserie, repas et médicaments via des « chariots tortues ». La solution Ascom averti les équipes de transport interne de l'arrivée des chariots à dispatcher dans les services de soins et alerte les équipes techniques en cas de dysfonctionnement des matériels ;
Les applications métier comme le «code rouge » destiné aux urgences obstétricales et le « départ SMUR » offrent désormais la possibilité de mobiliser très rapidement les bonnes ressources dans les situations critiques où chaque seconde compte ;
Les alarmes DATI (Dispositif d'Alarmes des Travailleurs Isolés) permettent au personnel d'alerter et d'être secouru rapidement en cas d'urgence avérée ;
La solution rondier synchronise en temps quasi réel les informations relevées lors des rondes des agents de sécurité, ceux-ci peuvent également en cas de besoin prendre des photos pour illustrer un évènement, l'ensemble étant ensuite automatiquement transféré dans l'application de gestion de « Main courante » ;
Le report des appels infirmières ou du système anti fugue, permet au personnel de recevoir les alertes sur leur terminaux mobiles ;
Les alarmes de suivi des températures et de l'hygrométrie provenant des réfrigérateurs stockant les médicaments ou des zones de stockage des tenues « NRBC », sont transmises au personnel en charge de ces secteurs, sur site ou d'astreinte.
Le terminal applicatif : outil de communication et de coordination des équipes de soins.
Ascom Myco réceptionne et délivre les messages recueillis par la plateforme de santé. Son utilisation, par tous les acteurs de l'établissement, permet de garantir un meilleur parcours de soins aux patients, tout en réduisant les erreurs d'interprétation générées par l'accumulation de notes prises sur du papier ainsi que les déplacements répétitifs et inutiles. C 'est l'outil de communication qui permet de récupérer et d'acheminer les bonnes informations, à la bonne personne, au bon endroit et au bon moment.
« Dans les projets futurs nous réfléchissons à la possibilité de transmettre une photo d'identité du patient pris en charge lors d'une intervention SMUR ce qui permettrait d'anticiper la création du dossier patient avant son arrivée aux urgences ou encore d'intégrer aux mobiles Ascom Myco la possibilité d'inclure une liste de tâches destinées aux prestataires des unités de soins », conclut Mme Casoli.
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