Lecko, cabinet de conseil en organisation et nouvelles technologies pour les organisations publiques et privées, publie une étude sur l’e-administration pour aider les collectivités locales à mieux tirer profit des bénéfices du numérique. Pour l’étude sur l’e-administration, Lecko a analysé 18 services en ligne proposés aux citoyens (des déclarations de naissance aux objets perdus en passant par l’inscription aux centres de loisirs ou aux problèmes de voirie) par les 25 villes les plus peuplées de France. Trois principaux constats en ressortent :
Aucune des 25 plus grandes villes de France n’a développé de manière homogène la sophistication des services aux citoyens.
La période 2010/2013 a vu principalement se développer les services à la famille tandis que la couverture des autres services analysés n’a pas véritablement évolué.
Le développement des e-services proposés est néanmoins très hétérogène au sein d’une collectivité et de l’une à l’autre; témoignant d’opportunités variées: pression des usagers, d’opportunités internes et de choix politiques
Nicolas GOIN précise : « L’enjeu majeur n’est pas seulement d’apparaître comme moderne à l’extérieur, mais aussi et surtout de s’appuyer sur le numérique pour changer de l’intérieur. C’est pourquoi nous proposons un plan d’action sous forme de manifeste aux collectivités pour qu’elles se donnent les moyens de profiter des évolutions technologiques (moderniser l’équipement, investir dans les Hommes autant que dans la technologie, adapter et diversifier les règles d'achats, recourir au SaaS pour plus de souplesse technologique…) »
Sommaire de l'étude : 1. Contexte de l’e-administration en France 2. Etat des lieux du niveau de sophistication des e-services aux citoyens des 25 plus grandes villes de France 3. Leviers d’optimisation 4. Vers l’e-administration 2.0
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